J’ai quelques fois cette sensation que la vie avance à grand pas, et qu’on la suit -au final- très machinalement : à force de faire tout ce qu’il y a à faire, on s’oublie un peu.
J’avais besoin d’une piste de sortie : exprimer ce qu’il y a à l’intérieur de soi. Donner le bon, et le mauvais. S’affirmer sûrement aussi. Dire toute son admiration pour la musique, les films, les idées. « Arrêter de disparaitre » s’est formé naturellement autour de ces pensées, dans le courant de l’année 2021.